Mes Petits Boulots D’Étudiante – 4

Laurent et Geneviève partis, j’ai cherché un nouveau job.
J’ai parcouru les annonces du quartier, et j’ai vu qu’une dame âgée recherchait un peu de compagnie deux soirs par semaine, pour lui faire la lecture car ses yeux étaient fatigués. C’était moins fun que mes deux amants, mais c’était plutôt bien payé.
C’est ainsi que je me suis présentée chez Madame Jeanne S, et que j’ai pris le rythme d’aller chez elle le mardi et le jeudi.
C’était une dame de 75 ans, encore très soucieuse de son apparence, et qui avait un joli visage.
Je lui lisais les textes qu’elle me demandait, surtout des classiques, et parfois des romans récents.
Au bout de deux mois, nous avions créé une relative intimité entre nous, faite de petites habitudes : un thé en arrivant, avec quelques gâteaux sortant du four, une pause pour parler du texte au bout d’une demi-heure de lecture, puis encore de la lecture pour finir un quart d’heure de conversation.

Peu à peu, celle-ci devenait de plus en plus libre et un jour, suite à un passage un peu chaud dans un roman, elle m’a raconté comment elle aimait le sexe quand elle était plus jeune, et combien cela lui manquait parfois, au point de se caresser encore par moments. Moi qui croyait que passés 65 ans, la libido était morte, je découvrais que le monde des anciens continuait d’être plein de fantasmes.
Je lui ai demandé si elle avait déjà fait l’amour avec une femme.
- Non, jamais ma chérie, je n’en ai pas eu l’occasion.
- Et si moi je vous faisais l’amour ?
- Toi, mais tu pourrais être ma petite fille !
- Et alors, il n’y a pas d’âge pour se donner du plaisir ensemble.
Notre séance fut pleine de douceur, de tendresse, de caresses appuyées, de léchages, et je suis vraiment heureuse d’avoir pu lui faire découvrir, même tardivement, le plaisir entre filles.
Nous avons recommencé plusieurs fois.
Puis un jour, ses s sont venus la chercher pour l’emmener vivre avec eux dans le Sud.


Je garde un souvenir ému de ses beaux yeux verts quand, de ma langue, je la faisais jouir.


J’ai ensuite trouvé un emploi le week-end chez un marchand de légumes à quelques rues de chez moi. Là, j’ai tout de suite vu que j’étais tombé sur un cochon. Dès le deuxième jour, il a commencé à me frôler les fesses l’air de rien en passant derrière moi, à se coller dans mon dos pour voir si je préparais bien les commandes, etc… Comme il était plutôt beau mec pour cinquante ans, je n’ai pas fait de remarque, et même j’étais assez excitée.
Le premier dimanche midi, à la fermeture, quand il m’a demandé de venir dans la réserve avec lui sous un prétexte quelconque, je savais ce qui allait se passer.
Dès que la porte a été refermée, il s’est collé dans mon dos et m’a attrapé les seins en me serrant contre lui.
- Tu m’excites depuis ce matin, j’ai envie de te baiser.
- Mmm, vous êtes un gros vicieux, mais j’ai envie de sentir votre queue en moi, lui ai-je répondu.
Il a soulevé ma jupe, m’a plié en deux, a constaté que je ne portais pas de culotte, et m’a enfoncé sa queue pour une levrette brutale. Ce n’était pas un sentimental, mais moi je profitais de ce moment bien cru. Il s’accrochait à mes hanches, me traitant de salope, de petite pute, tout en me limant.
Il n’a pas tenu bien longtemps et j’ai vite reçu son jus sur mes fesses. Je me suis retournée, et j’ai léché sa queue pour recueillir quelques gouttes de sperme. J’aime bien le sperme, et j’aime comparer les goûts des mecs que je baise. Lui était plutôt amer, mais j’ai quand même bien aimé.

Tous les week-ends, à chaque fermeture, il me baisait. Toujours en levrette, toujours rapidement.
Il ne prenait pas soin de mon plaisir, et souvent je devais me branler en rentrant chez moi pour calmer le feu qu’il avait allumé. Alors, au bout d’un mois, j’ai trouvé que c’était un peu basique, et j’ai donné ma démission.

Je me retrouvais à nouveau en recherche d’un job.


Comme mes cours n’occupaient pas certains après-midi, je décidais de chercher quelques heures de secrétariat. Via une agence d’intérim, j’arrivais chez Maître A, avocat, qui m’embaucha pour quelques heures, deux fins d’après-midi par semaine.
Rapidement, j’ai constaté qu’après que tout le monde soit parti, Maître Z recevait régulièrement des clients ou des clientes. Il s’enfermait dans son bureau. Un jour, je me suis approchée de la porte capitonnée, et en tendant l’oreille, j’ai reconnu des bruits significatifs. Ce jour-là, c’était un homme dans son bureau, et les halètements que j’ai entendus m’ont fait mouiller rapidement. J’ai commencé à me branler, l’oreille collée contre la porte. Quand j’ai entendu un râle de mâle qui jouit, je suis vite retournée dans mon bureau. Bien m’en a pris car peu après j’ai vu repartir le « client ».
Maître A m’a aperçu devant mon ordinateur.
- Mademoiselle Camille, vous n’êtes pas encore partie ? Mais il ne faut pas faire des heures sup comme ça, je ne vous le demande pas !
- Je voulais vraiment finir les courriers du dossier X, Maitre, ne vous inquiétez pas, cela ne me gêne pas et je ne vous demanderai pas de me payer d’heures sup.
- Bien, bien, mais là je dois partir en vitesse. Je vais vous laisser un jeu de clé et vous fermerez derrière vous, je vous fais confiance.
- Merci Maître.
Il m’a donné les clés et a disparu.
Cela m’a donné une idée. J’ai foncé à mon appartement, j’ai pris une webcam wifi et suis revenue dans les bureaux. Je l’ai installée en haut d’une étagère, partiellement cachée par des dossiers, et je l’ai connectée à une prise de courant en camouflant bien le fil.

Deux jours plus tard, Maître A. recevait à nouveau un client. Dès qu’il a été enfermé avec lui, je me suis connectée à la webcam. Après quelques minutes où les hommes semblaient consulter un dossier, j’ai vu le client se lever, faire le tour du bureau, baisser son froc et présenter sa queue à Maitre A.
J’avoue que j’ai été surprise quand même, mais que mon abricot a commencé à s’humecter. Maître A. a enfourné la queue sans réticence, visiblement habitué.
Quand elle a été bien raide, les deux hommes se sont mis à poil. Maître A. s’est mis sur le dos sur son bureau. L’autre lui a titillé la rondelle, puis a présenté son sexe devant l’anus offert, avant de s’y enfoncer gaillardement. J’avais mis le son très bas, mais j’entendais distinctement le client :
- Alors, petite lope, tu aimes te faire défoncer le cul ! Tu la sens ma grosse queue qui te pine ?
- Aaaaah, oui, baise-moi, je te sens bien, prends mon cul
La queue de Maître A., que j’apercevais par moments, était bien raide aussi, et il se branlait.
Il a fini par s’éjaculer dessus.
Le client allait lui aussi jouir. Il a sorti son sexe du trou béant, et a lancé son jus sur le ventre de Maître A.
Tout cela avait duré une bonne demi-heure, pendant laquelle j’avais relevé ma jupe et m’étais copieusement caressée le clito.
Je suis partie avant qu’ils ne sortent du bureau.

Une autre fois, c’est une femme qui est venue, et j’étais curieuse de voir si Maître A. serait plus dominateur cette fois.
Et en effet, c’est lui qui a sorti sa queue et qui s’est fait sucer pour commencer.
Il a ensuite déshabillé la femme, et l’a baisée en levrette sur le fauteuil en cuir.
Puis il l’a enculée, et ses gémissements m’ont mis dans tous mes états.

A force de mater les ébats de mon patron, l’envie m’est venue d’en profiter. J’en savais assez sur ses goûts pour imaginer un petit scénario.
Un soir ou nous étions seuls et qu’il n’attendait personne, j’ai été le voir dans son bureau.
- Maître, j’ai une demande à vous faire.
- Mademoiselle Camille, de quoi s’agit-il ? Vous avez un problème ?
- Pas du tout, mais j’ai pensé que vous pourriez peut-être me rendre un service.
- Ah, mais bien volontiers, de quoi s’agit-il ?
- C’est un peu personnel, et j’espère que vous ne m’en voudrez pas de cette demande.

- Vous êtes bien mystérieuse, allez, dites-moi ce qui vous tracasse.
- Vous me promettez de ne pas vous fâcher ?
- Me fâcher ? J’aurais un motif pour cela ? Allons, je vous le promets, je ne me fâcherai pas.
Je me suis levée et j’ai enlevé prestement mon chemisier et ma jupe, me retrouvant à poil devant lui.
Il n’a pas bougé, écarquillant un peu les yeux.
- Eh bien, voilà, je me lance. J’aimerais bien que vous me fassiez la même chose qu’à vos clientes du soir, et après moi je voudrais essayer sur vous le nouveau gode-ceinture que je me suis achetée, j’ai cru comprendre que vous pourriez aimer cela.
Il s’est enfoncé dans son fauteuil.
- De quoi parlez-vous, Camille, est-ce là une façon de parler à son employeur ?
- Non, mais je sais que vous allez me dire oui, parce que vous êtes un gros coquin qui adore baiser et se faire baiser.
- Voyez-vous ça, a-t-il souri, et qu’est-ce qui vous fait penser cela ?
- Les images de la webcam que j’ai dissimulée dans votre bureau….
- Quoi ? Vous m’espionnez ? Mais je vais porter plainte contre vous !
- Vous m’avez promis de ne pas vous fâcher, rappelez-vous, Maître. Et puis au tribunal, avouez que cela ferait mauvaise impression et que votre réputation serait ternie. Mais je ne veux pas vous faire chanter, je veux juste que l’on prenne ensemble du plaisir. Une fois, et après je disparaîtrai de votre vie.
- Je vois.
Il s’est calmé aussitôt, s’est levé et s’est approché de moi.
- Et là, vous filmez aussi ?
- Bien sûr, pour avoir un souvenir de ma dernière journée chez vous.
- On verra cela plus tard. En attendant suce-moi, petite salope!
Je n’aime pas toujours que l’on me traite ainsi, mais là, il avait des excuses, non ?
Il m’a présenté son membre déjà à moitié raide.
Je me suis agenouillée devant lui, et j’ai attrapé son sexe. Je l’ai caressé, puis l’ai enfourné.
Il était long et large, comme je le savais, mais de l’avoir en bouche c’était une autre chose. J’avais du mal à tout prendre et j’ai dû bien ouvrir pour l’engloutir. Il m’a pris la tête et m’a baisé la bouche.
- Alors, tu aimes la queue de ton patron, je vois, mais elle est un peu grosse pour toi hein.
- Nnnouonn ai-je balbutié,
- Alors profite, jeune cochonne.
Je l’ai bien sucé, le regardant dans les yeux. Ce n’était plus le patron bien mis de sa personne, mais un homme dans toute sa lubricité qui profitait du corps d’une fille.
Après je me suis relevée et comme je l’avais vu faire, je me suis agenouillée pour que me prenne sur le fauteuil.
- Je vois que tu as bien étudié ton dossier, jeune fille !
Et il m’a pénétrée d’un coup. Après dix minutes, j’ai joui bruyamment, et je lui ai dit :
- Maître, je vais vous enculer tout à l’heure, alors vous avez le droit de me le faire aussi.
- Mais je vais te faire mal, je suis bien monté tu as vu.
- Je suis prête à tout, enculez moi.
Il ne s’est pas fait prier. Il m’a préparé l’anus en crachant dessus, m’a mis un puis deux puis trois doigts pour m’élargir, et enfin il m’a enfilée.
J’avoue que j’ai eu quand même un peu de mal à l’accueillir, mais je rêvais depuis des semaines de ce moment, aussi je n’ai gémi que faiblement. Surtout, le plaisir est arrivé très rapidement, et j’ai profité de ce membre assez exceptionnel. Il allait bien au fond, ses couilles frappant mes fesses puis repartant pour revenir plus fortement encore. J’ai senti que j’allais jouir du cul.
- Encore, Maître, enculez-moi à fond, comme je vais vous le faire tout à l’heure ! Je vais jouir.
- Aahh, tu es bonne, ton cul est beau ainsi planté
Et nous avons tous les deux explosé l’un après l’autre.
Une fois calmés, je lui ai dit :
- A vous Maître, mettez-vous sur le bureau, et je vais vous prendre.
Il ne s’est pas fait prier, s’est installé, et m’a présenté son cul. Je l’ai enduit de ma mouille, de ma salive. Je me suis harnachée avec le gode-ceinture, et je l’ai enculé.

Je ne sais pas si vous, les filles, vous avez déjà enculé un mec. C’est un moment vraiment particulier. Tout à coup, on se trouve dans la position inverse de nos habitudes. Même si nous sommes un peu dominantes parfois, nous ne pouvons nous empêcher d’être d’abord des femmes qui accueillent les chibres des messieurs. Nous savons depuis toujours que notre plaisir sera d’être pénétrée, c’est normal, c’est comme ça.
Mais quand l’occasion nous est donnée d’inverser les rôles, quelle magie.
De voir Maître A., ce grand avocat, à poil, les couilles pendantes, la queue molle de m’avoir baisée, en train d’attendre une saillie, ce fut un vrai instant d’excitation. Le sentiment de vraiment dominer un homme, d’être celle qui va donner le plaisir par l’introduction d’une queue, même si elle est en plastique.
Moi, je mouillais vraiment beaucoup quand j’ai approché le gland de son cul. Et quand il a soupiré d’aise quand je l’ai enculé, j’ai ressenti un sentiment de puissance rarement atteint.
Alors je l’ai limé, longtemps, longtemps, et il aimait ça ce cochon, il m’en redemandait, il ne voulait plus que ça s’arrête. C’était la première fois qu’il se faisait prendre par une femme ainsi, et il était ravi. A force de lui défoncer son cul, il a même joui à nouveau, s’aspergeant le ventre de son foutre.

Quand je me suis retirée, j’ai léché le sperme (il était plus sucré que celui du marchand de légumes) et je lui ai demandé de me faire un cunnilingus car j’avais envie de sentir sa bouche sur moi.
Il m’a léché longuement, presque tendrement, et quand j’ai joui, j’ai vu à son sourire qu’il avait passé un moment enchanteur.
- Camille, il est hors de question que tu me quittes. Tu vas arrêter de bosser ici, mais je subviendrai à tes besoins financiers. Je veux continuer à baiser avec toi encore et encore, je n’ai jamais eu autant de plaisir. Et nous inviterons d’autres partenaires. Je veux te voir être baisée par d’autres mâles, te voir les enculer, et faire l’amour avec des femmes. Es-tu d’accord ?
Je ne m’attendais pas à cette proposition. Cela m’attirait beaucoup, mais en même temps j’ai eu peur de sombrer dans une vie où le plaisir deviendrait le seul but. J’ai trouvé un moyen terme.
- Nous sommes en mai, cher Maître. Je vous offre deux mois de débauche avec moi, mais en juillet, je partirai en vacances et ne reviendrai pas à la rentrée de septembre. Topez-là ?
- Deux mois seulement, mais je ne pourrai plus me passer de toi !
- Deux mois, c’est à prendre ou à laisser.
- Je prends.
- Mais je vous préviens, mes études sont plus importantes que tout, donc ce sera trois soirs par semaine, pas plus.
- Tout ce que tu voudras !

Et pendant deux mois, trois fois par semaine, ce ne furent qu’orgies. J’y ai pris énormément de plaisir, j’y ai découvert de nombreux hommes et femmes, pas toujours très délicats… mais je n’ai jamais regretté cette période où j’ai pu aller au bout de mes fantasmes et de ceux des autres.

Je n’ai jamais revu Maître A. qui pleurait quand je suis partie. J’ai pleuré aussi, ensuite, une fois seule, mais je savais qu’il fallait que je reprenne une vie plus tranquille.
Pendant les vacances, j’ai rencontré un charmant garçon de ma région, qui lui aussi faisait des études à Paris. Je suis tombée amoureuse. Pas très dégourdi côté sexe au début, il a fait de grands progrès rapidement. Et moi, même si parfois je me disais qu’une deuxième queue serait bienvenue pendant nos ébats, je ne l’ai pas brusqué.
Pas tout de suite….
Mais c’est une autre histoire.

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